Que deviennent-ils?

yellowandgreen44 a écrit:

footix a écrit:

les gars vous connaissez pas nos anciens joueurs?

c'est vrai que le mec est une star internationale et qui est bien connu du staff nantais

sans connaitre sa date de naissance ou son signe zodiacal, quand même

yellowandgreen44 a écrit:

footix a écrit:

les gars vous connaissez pas nos anciens joueurs?

c'est vrai que le mec est une star internationale et qui est bien connu du staff nantais

je sais que vous etes jeunes les amis mais sans les avoir vu jouer,je connais le nom de la plupart des joueurs depuis la 1ére montée en 1963 alors à vos bouquins !

pas trop le temps là

yellowandgreen44 a écrit:

pas trop le temps là

c'était une boutade

ah bon? mdr
non mais je sais où la trouvé l'histoire

Bon, parlons de quelqu'un que tout le monde connaît...

Klasnic fut passeur décisif pour Elmander hier lors de la qualification de Bolton pour les demi-finales de la Cup

Ouais j'ai vu ça sur téléfoot, ça faisait je sais plus combien de temps qu'ils avaient pas été si loin ...

Elmander il me semble qu'il est titulaire à chaque fois mais Klasnic, souvent titulaire ? quelqu'un sais ?

hormis cette passe, invisible.

Citation :

Le milieu de terrain Youssef Sekour (Lierse) rejoint Lillestrom.

Le club norvégien de Lillestrom s'est attaché les services du milieu de terrain Youssef Sekour (23 ans, Lierse). Laissé libre, l'ancien joueur de Bordeaux, Nantes et Sedan s'est engagé jusqu'à la fin du mois de novembre 2011.

Football365

lui aussi on en esperait beaucoup....benzegra le nouveau zidane sera t'il aligné ici?

Oui Sekour n'a jamais réussit à percer, il a déjà fait pas mal de club pour un joeur de 22ans(?) ...

Le meilleur avant centre que le FCN ait connu est incontestablement Philippe GONDET.
Comment jouait-il ? Il recevait la balle (que lui transmettait parfois son ami SUAUDEAU) et foncait vers le but en résistant aux chocs et tacles (qui n'étaient pas tendres à l'époque) et dés qu'il était en position convenable, il frappait séchement. Résultat, encore meilleur buteur Français en D1, sur une saison : 36 buts.
Je ne dis pas que VAHID ou MOLDOVAN n'étaient pas de très bons avant centres aussi, mais GONDET, c'est GONDET.

Suis-je sur la bonne rubrique ?

Re looooooooooooooooooooool

oki mais le jeu était different aussi les défenses etaient passoires.
gondet était matraqué car à l'epoque pas de protege-tibias et sa carriere a été ecourtée.

Lionel Carole s'est illustré pour son 1er match avec le Benfica :

Citation :

Benfica est en forme et ça se voit. Après s'être qualifié pour les quarts de finale de la Ligue Europa, aux dépens du Paris Saint-Germain (2-1; 1-1), le club lisboète s'est amusé ce lundi soir face à Paços Ferreira, désormais 6e au classement (5-1). Les coéquipiers du Français Lionel Carole (ex-Nantes), titulaire à la place de Fabio Coentrao mais auteur d'un but contre son camp, n'ont pas fait de détail face à leur adversaire du soir.

FF

il s'est bien illustré

Citation :

Sa carrière en club
Natif de Rufisque, Thierno Youm s’oriente vers une carrière de banquier dans un établissement de Dakar. Il rejoint l’ASC Diaraf à 20 ans tout en continuant son activité. Attaquant très rapide, celui qui sera surnommé la mobylette, ne fait pourtant que peu parler de lui. A partir de 82, il commence se faire un nom au Sénégal remportant le doublé Coupe Championnat, puis une nouvelle Coupe nationale en 83. Ces brillants résultats lui ouvrent les portes de la sélection sénégalaise dont il deviendra un des piliers pendant presque 10 ans, sans jamais toutefois remporter quelque chose.

A 24 ans, il fait le grand saut et rejoint Laval, dans la Mayenne. L’équipe est très axée sur la formation et la première saison est délicate pour Thierno. En 14 apparitions il ne met que 2 petits but, mais sa vitesse impressionne et sa technique fait merveille dans les défenses rugueuses des années 80. Très l’aise sur l’aile il compense un physique moyen (1,80m – 73 kg) par une vivacité hors du commun. L’arrivée de Chérif Oudjani en 85 lui créer un duo intéressant. Restera dans les mémoires un doublé fantastique face l’AS Monaco dont un but sur une remontée de balle de plus de 60m. Le binôme ne dure cependant qu’une saison et pour sa dernière année dans la Mayenne il est associé au Nigérian Richard Owubokiri et réalise sa meilleure saison sur le plan comptable avec 9 réalisations. Comme beaucoup de lavallois, il quitte le navre à l’été 87 pour rejoindre un FC Nantes en fin de cycle.

L’équipe entrainée par Coco Suaudeau se maintient sur une assise défensive de qualité avec Antoine Kombouaré et Michel Der Zakarian dans l’axe, un milieu assez intéressant (Fabien Debotté, Vincent Bracigliano) mais les atouts offensifs sont extrêmement vieillissant : Le prince du parc Astrid, Frankie Vercauteren, est en fin de carrière, Jorge Burruchaga a des problèmes de papiers, Loïc Amisse vit sa dernière saison et Philippe Anziani n’est pas non plus de première jeunesse. Enfin Maurice Johnston, avant-centre écossais débarque dans l’inconnu. Thierno Youm est un remplacent de luxe dans cet effectif qui renie la tradition de formation à la nantaise et une piteuse 10ème place sanctionne une saison à vite oublier. La crise d’identité est profonde sur les bords de l’Erdre et Blazevic débarque en 88. L’ère d croate n’est guère plus propice aux excès de joie avec 2 7ème place. Thierno a profité du départ d’Anziani pour gagner sa place de titulaire sur le flanc droit de l’attaque. Relativement régulier, il tourne à une moyenne assez basse (5-6 buts par saison). L’émergence de Patrice Loko au début des années 90 lui donne pas mal de fil à retordre et il ronge son frein sur le banc l’espace d’une saison. Sa dernière année en jaune est plus intéressante avec une place de titulaire dans un 4-4-2 où il est associé à Patrice Loko. En proie des graves soucis financiers à l’été 2, le FC Nantes est menacé de rétrogradation administrative et doit vendre une bonne partie de son effectif. Thierno fait partie du contingent des joueurs quitter Nantes : Thierry Bonalair part à Auxerre, Marcel Desailly et Jean-Jacques Eydelie à l’OM , Jorge Burruchaga à Valenciennes… Thierno part lui l’Espérance Tunis

Le retour de Thierno sur son continent marque le début d’une fin de carrière en queue de poisson. Après une saison ratée, il rentre en France et signe dans la cité des Papes alors en DH. A 34 ans, il y termine sa carrière tranquillement.

Que devient-il ?
Il décide alors de rentrer dans son pays. Le retour n’est pas sans difficulté et Thierno se découvre de nombreux amis. Il devient adjoint au maire de Rufisque entre 95 et 2000. Après sa carrière, il va se retrouver ruiné, la faute à une gestion trop généreuse de son argent. Marcel Desailly raconte d’ailleurs à ce sujet dans son livre Capitaine : « Thierno, c'était la gentillesse personnifiée, il était incapable de dire non. Un jour, il s'est retrouvé sans un sou et seul. Les parasites qui grenouillaient autour de lui ont alors jeté leur dévolu sur d'autres proies ».

Aujourd’hui, Thierno Youm habite Courbevoie et d'ici quelques mois, pourra se prévaloir, dans le cadre de sa reconversion, d'un rôle d'ambassadeur pour la Caisse d'Épargne sur le programme de co-développement et d'installation dans les pays émergents de l'Afrique de l'Ouest. Il a en effet monté une école de foot à Rufisque : « Les jeunes ont pour obligation d'être scolarisés. Ils peuvent y suivre une formation sur les métiers de la métallurgie, de l'électricité ou de la mécanique, l'objectif étant que l'enfant réussisse sa vie sociale. ». Il est à la recherche d’un partenariat avec un club de D1 afin d’offrir un débouché aux joueurs qui valent le coup : « Le centre fonctionne très bien en l'état, toutefois on aimerait que les deux ou trois éléments au-dessus puissent trouver un débouché dans un club français, voire européen. À ceux qui ne peuvent pas réussir dans le foot, on offre une occasion de se construire un avenir, de travailler au pays mais aussi de jouer à un niveau intéressant puisque nous avons mis en place deux clubs, le Flash FC de Rufisque et le Diokoul FC. C'est la plus belle des réponses à l'exode des jeunes et aux recruteurs mal intentionnés. » Le FC Nantes, qui souhaitait ouvrir un centre au Sénégal a ci l’occasion de renouer avec un des ses anciens joueurs…

Source : Afterfoot.fr

un ancien pote de mon père

Carole a marqué un but le lundi 21 mars.

Belle entame mdr
En tout cas, je croyais pas qu'il allait jouer, enfin maintenant il jouera peut être plus

http://www.nantes.maville.com/sport/fc-nantes-detail_-Fabrice-Bryand-Avec-Blanc-c-est-clair-net-et-precis-_37933(:)12981-1743976_actu.Htm

Fabrice Bryand a débuté avec les Bleus contre la Norvège. « La nuit du premier match, je n'ai pas très bien dormi. J'ai quand même fait sortir trois joueurs. Le lendemain, c'était mieux que mon premier diagnostic se confirme. » / Daniel Fouray
L'ancien médecin du FC Nantes est devenu celui de l'équipe de France. Le fonctionnement de Laurent Blanc lui va comme un gant.
Enghien-les-Bains.De l'un de nos envoyés spéciaux

Le vendredi, c'est répit, dans l'emploi du temps du Docteur Bryand. Ce 18 mars, il nous a donné rendez-vous dans son cabinet de médecine générale, à Carquefou, entre quelques papiers à régler et « la pelouse à tondre ». L'ancien médecin du FC Nantes se partage entre la vraie vie, et « un autre monde », comme il appelle lui-même la bulle équipe de France. Il y est arrivé après avoir travaillé chez les jeunes au côté de Philippe Bergeroo. Après huit mois en bleu, il nous éclaire sur sa fonction, sur Laurent Blanc et son style.



Être médecin en club ou avec les Bleus, est-ce le même métier ?

La façon de travailler est différente, mais le coeur de métier reste le même. On n'a pas les joueurs physiquement à disposition. Et pour un médecin, il est hyper important de pouvoir faire des examens, de voir les évolutions. En sélection, ça va très vite. Ils viennent, trois jours plus tard on joue. Il faut du temps au médecin de sélection pour bien gérer les éléments individuels médicaux de chacun. En cela, le relationnel avec les médecins des clubs est hyper important.

Vous savez de quoi il retourne...

J'ai eu à connaître l'envers du décor. Pour avoir été médecin de club, je sais les griefs que j'ai pu avoir par rapport à mes confrères des sélections qui prenaient les joueurs, les renvoyaient, ne disaient rien. Certains revenaient après avoir été traumatisés. Des traitements avaient été institués et je n'avais pas toujours tous les détails. Je m'efforce de ne pas reproduire le même schéma. Avant et après chaque rassemblement, j'appelle chaque confrère. Qu'il y ait eu ou non quelque chose.

Cela suppose des contacts avec des médecins, pas seulement français mais aussi anglais, italiens, espagnols... Tous travaillent-ils de manière uniforme ?

Après m'être présenté, j'ai été frappé par le retour empreint de confraternité. Même pendant les stages, je les tiens au courant, car eux aussi ont une pression par rapport à leur direction. Il y a une confiance mutuelle. On met une Ferrari rutilante sur mon parking en m'en confiant les clés. Pendant dix jours, je vais avoir droit de monter dans le bolide, et il faut que je le ramène au parking sans une égratignure.

Pensez-vous avoir désormais une bonne connaissance d'un groupe qui, par ailleurs, évolue toujours ?

C'est mieux. En août, lorsque je suis arrivé, il y avait non pas un sentiment de défiance, mais les joueurs ne me connaissaient pas. On a appris à mieux se connaître. J'en découvre encore. C'est forcément différent du club, a fortiori lorsqu'il est formateur, où je suivais des joueurs de 14 ans à parfois 27-28 ans.

Quand vous avez débuté avec l'équipe de France, y avait-il un traumatisme Afrique du Sud ?

C'était un groupe en reconstruction. Avec un traumatisme, oui. Partagé entre ceux qui n'y avaient pas participé, mais étaient tout de même marqués, et ceux ayant une démarche d'amende honorable. Tout le mérite de Laurent Blanc et du staff technique a été de créer une dynamique par rapport à ces éléments disparates et fragilisés. Tout le staff a été briefé pour travailler dans une optique de futur à appréhender, non de passé à gommer.

Quel type de rapports avez-vous avec Laurent Blanc et comment a-t-il installé votre rôle ?

Je ne fais pas les changements (sourire). Lorsque Laurent Blanc nous a réunis, une journée avant l'arrivée des joueurs, il nous a dit : je ne vous ai pas pris parce que vous étiez des copains, mais pour votre compétence dans votre domaine. C'est quelqu'un de très exigeant avec son staff. Il met beaucoup de rigueur. Il est très professionnel, très carré, très synthétique. On ne parle pas longtemps. C'est clair, net et précis. En face, il faut avoir des réponses étayées. En revanche, quand c'est acté, c'est acté, il y va à fond. En dehors du travail, il est complètement opposé à cette froideur, à cette rigueur. C'est un joyeux personnage, très agréable au quotidien, avec de l'humour, qui rigole.

Recueilli par Pierre-Yves ANSQUER.



Dopage : « Réalité et préoccupation »

Du temps où le centre d'entraînement du FC Nantes n'était pas grillagé, bunkerisé, cloisonné, Fabrice Bryand aimait venir parler de choses et d'autres avec certains journalistes. Au lendemain des matches de Ligue des champions, il n'était pas rare de l'entendre émettre des réserves sur le niveau d'intensité physique. Ses allusions au dopage prennent évidemment un écho particulier, maintenant qu'en équipe de France, il reçoit des joueurs provenant des championnats où les pratiques ne lui semblaient pas toutes « clean ».

Le dopage dans le football, comme « dans beaucoup de secteurs de la société, où il faut être performant tout le temps », il n'en nie pas l'existence. « Donc, oui, c'est une préoccupation », reconnaît celui qui était « dans le bureau directeur des médecins de première et deuxième division, qui a mis en place tout un système, avec des bilans biologiques répétés, des suivis. Mais, même avec cette photo destinée à détecter les pratiques illicites, on sait que des gens allaient voir ailleurs et pouvaient nous avoir. Raison de plus si on ne les suit pas régulièrement. C'est une réalité. » Pour autant, il « refuse de voir dans chaque sélectionné, un dopé potentiel ».

Très sensible aux questions d'éthique, Fabrice Bryand dit déjà avoir « eu la visite de l'AFLD lors de rassemblements, avec des contrôles inopinés ». Il ajoute ne pas s'en contenter : « J'assure un suivi en Équipe de France. Je sais ce que je fais, donc je suis en accord avec ma conscience. Je sais ce que je mets en place pour surveiller. Mais je suis loin de maîtriser, puisque je ne les ai presque pas. Ne pas aller en équipe de France parce qu'il pourrait y avoir du dopage, ce serait aussi laisser la place à... Si on veut faire avancer les choses, il faut être plus interventionniste qu'observateur. Les gens qui crient au loup feraient bien de prendre les fourches et d'aller au milieu défendre les agneaux. »

P.-Y. A.



Une explication franche avec Barthez

À l'échelle du FC Nantes, ce n'était pas Knysna, mais pas loin quand même. Le passage de Barthez, recruté par le président Rudi Roussillon par le truchement de Charles Villeneuve, cela a été six mois de querelles sur fond de passe-droits. Avec, en point d'orgue, un départ maquillé sous une pseudo-agression par des supporters. À l'époque médecin de FC Nantes, Fabrice Bryand avait eu maille à partir avec la diva chauve. Notamment lorsque Yann Rougier, un spécialiste de la nutrition, avait été introduit dans la maison jaune sans son accord. Cela avait chauffé entre le Doc et le gardien de but.

Il faut croire que Barthez a la rancune tenace. Lorsque Laurent Blanc a choisi le médecin de l'équipe de France, son ancien partenaire a essayé de le dissuader de prendre Bryand. Le sélectionneur s'en est tenu à son idée et, quelque temps plus tard, invitait Barthez a rejoindre les Bleus. « Quand Laurent l'a fait venir dans le staff avec les gardiens, il était au courant. Il m'a dit : je prends Fabien par rapport à ses compétences, et je ne veux pas de problème dans le staff. Lors du premier rassemblement, on s'est expliqué franchement. »

Pour autant, Fabrice Bryand n'élude pas le sujet. « Les six mois, ou à peine, qu'il a passés à Nantes ont été marqués par quelques histoires et quelques oppositions entre Fabien et moi. » Il affirme en revanche qu'il n'en reste rien : « Aujourd'hui, tout se passe très bien. On travaille sur d'excellentes bases. L'épisode nantais était l'épisode nantais. Moi, chevillé aux bords de l'Erdre avec un club qui périclitait, Fabien venant juste à partir du mois de décembre. J'ai parlé avec mes tripes. On ne s'est pas du tout compris. Dans la vie, il peut y avoir des conflits dans des circonstances particulières. Après, c'est une question de bons sens ou d'intelligence que de savoir avancer. Les gens peuvent évoluer et comprendre que, ce qui était vrai dans un contexte, peut ne plus l'être dans un autre. »

P.-Y. A.



Ouest-France

Saison terminée pour Guillon

Citation :

Le défenseur du Vannes OC, Loïc Guillon, ne rejouera plus cette saison avec le club morbihannais. Blessé à la cuisse au Mans, le 22 décembre dernier, l'ancien Nantais était revenu à l'entraînement la semaine dernière avant de rechuter. Le joueur de 29 ans, qui n'a disputé que six matches de Ligue 2 cette année, devra subir une nouvelle opération (la troisième en un an) et sera éloigné des terrains au moins deux mois. Après l'attaquant Christophe Gaffory, c'est le deuxième joueur vannetais dont devra se passer Stéphane Le Mignan pour la fin du Championnat.

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Football
Ligue 1


Foot - Transferts
Cetto vers Montpellier ?

Spoiler:

Il a un très bon niveau, il aurais du passer a un niveau supérieur, là il commence à se faire "vieux" et c'est pas forcément facil ...
Je me souviens qu'il était pisté par le Barça à un moment donné

Des nouvelles de... Nicolas Ouédec

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->Khaled Karouri

Olivier Monterrubio raccroche en fin de saison

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